Le Groupe socialiste aux Chambres fédérales échange, aujourd’hui et demain, sur les défis à venir pour les politiques de croissance, avec des nombreux-ses scientifiques renommé-e-s. Certains d’entre ont également fait le déplacement à Bienne depuis l’étranger. La décision, particulièrement douteuse, prise par la Banque nationale suisse (BNS) à la mi-janvier, apporte une actualité toute particulière à ce thème.

Pour Roger Nordmann, vice-président du Groupe socialiste, « la question de la croissance est essentielle pour le Parti socialiste : combien de croissance, quelle croissance est nécessaire pour contribuer à une qualité de vie pour toutes et tous, sans privilèges. Cette croissance ne doit pas non plus nous empêcher de laisser un monde viable pour les générations futures ».

Il n’existe quasiment aucun domaine politique qui ne soit pas directement ou indirectement concerné par cette thématique. « Les réflexions politiques doivent être plus intenses que par le passé : définition de la future imposition des entreprises, opposition entre place industrielle et place financière ou encore marge de manœuvre existante sur la politique monétaire du change ; autant de thèmes essentiels », précise encore le conseiller national vaudois.

31. jan 2015