26.06.2015La corruption dans le cadre privé doit également être poursuivie à l’avenir dans notre pays. Une protection efficace des lanceurs d’alerte se fait toujours attendre. C’est au moins ce que la Commission des affaires juridiques du Conseil national (CAJ-N) a décidé aujourd’hui. Les associations pesant plusieurs milliards, telles que la FIFA, tombent également sous le terme « corruption privée ». Pour Rebecca Ruiz, conseillère nationale (VD), « après le scandale de la FIFA, le signal aurait été dévastateur si la Suisse avait décidé de continuer à considérer la corruption comme une peccadille ». Si un bureau de communication destiné aux dénonciateurs en cas de corruption était attendu, la CAJ-N a néanmoins décidé de le rayer du projet.
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