16.09.2019
Le PS ne veut pas que de nouveaux murs soient érigés. Elle propose au contraire de relever les défis de la migration par des mesures ciblées et efficaces de politique sociale. Le PS rejette donc sans contre-projet l’initiative de résiliation de l’UDC. Car celle-ci attaque de front la libre circulation des personnes, nos bonnes relations avec nos voisins européens ou encore les conditions de travail en Suisse et nuit à notre pays. Le PS combattra l’initiative avec fermeté lors du débat au Conseil national et, plus tard, dans les urnes. Continuer
20.06.2019
Le PS se félicite de la décision du Conseil national visant à charger le Conseil fédéral de mener de nouvelles négociations avec l’Union européenne (UE) ou de prendre d’autres mesures appropriées pour améliorer l’accord institutionnel avec l’UE. Ce sont en particulier les mesures d’accompagnement pour protéger les salaires et les conditions de travail en Suisse qui doivent être garanties et renforcées. Le PS maintient sa position de principe en faveur de la conclusion d’un accord-cadre. Continuer
05.03.2019
Le PS est en faveur de la conclusion d’un accord institutionnel avec l’Union européenne. En parallèle, le PS se bat pour une protection efficace des salaires et des conditions de travail en Suisse. Malheureusement, le projet d’accord actuel laisse de nombreuses questions importantes en suspens, ce qui ne permet pas au PSS de se prononcer de manière fondée à ce stade. Quelles sont les menaces qui pèsent sur les salaires et les conditions de travail ? Qui décidera sur quoi en cas de litige en droit du travail ? Qu'adviendra-t-il des entreprises de service public ? Le Conseil fédéral a bien invité les partis à examiner son projet d'accord. Mais il s’est abstenu lui-même de prendre position, et n'a fourni qu’une faible part des explications que l’on serait en droit d’attendre de sa part, et qui permettraient de trancher la question avec un minimum de sérieux. Le PS demande au Conseil fédéral des réponses sérieuses aux questions ouvertes. S’agissant des mesures d’accompagnement, le Conseil fédéral doit chercher avec les partenaires sociaux et l’Union européenne une solution qui permette de maintenir une protection réelle des salaires et des conditions de travail en Suisse. Continuer
08.08.2018
Les deux conseillers fédéraux du PLR, Johann Schneider-Ammann et Ignazio Cassis, remettent en question la protection salariale suisse dans le débat sur l’accord-cadre institutionnel avec l’Union européenne. Ce faisant, ils violent le mandat de négociation du Conseil fédéral et franchissent les « lignes rouges » évoquées. Le PS Suisse soutient donc pleinement la décision des syndicats de se retirer des discussions menées avec les partenaires sociaux sur les mesures d’accompagnement. Continuer
30.01.2018
Les conditions de travail en Suisse font actuellement face au feu nourri de la droite. Certains tentent ainsi de s’attaquer au temps de travail ou à la protection des travailleuses et travailleurs âgés et l’UDC s’est positionnée contre les mesures d’accompagnement. Cette dernière s’attaque ainsi frontalement aux salaires et aux conditions des travailleuses et travailleurs indigènes. Le PS s’inscrit en faux contre cette volonté des partis de droite et mettra toute son énergie à contrer le démantèlement des conditions de travail dans notre pays. Continuer
03.02.2016
Le Conseil fédéral a décidé aujourd’hui d’investir, entre 2017 et 2020, 100 millions de francs dans un programme spécial pour la formation des médecins. Le PS salue cette décision. Cette augmentation des moyens réduit notre dépendance aux forces de travail spécialisées en provenance de l’étranger et contribue à la mise en œuvre de l’initiative contre l’immigration de masse. Cela démontre que la Suisse peut et doit entamer les réformes intérieures nécessaires, sans attendre le résultat de négociations s’inscrivant dans la durée avec l’UE à propos des contingents ou des clauses de sauvegarde. Continuer
18.12.2015
La clause de sauvegarde n’est qu’un placebo sans impact réel. Ce que le Conseil fédéral a présenté aujourd’hui comme mesures d’accompagnement à la mise en œuvre de l’initiative contre l’immigration de masse (IIM) est loin d’être suffisant. Et c’est sans parler de l’initiative contre la pénurie de personnel qualifié du conseiller fédéral Johann Schneider-Ammann, qui n’a pour l’instant abouti à rien d’autre que de vagues intentions et des tables rondes. Le PS exige des mesures tangibles pour lutter contre la pression sur les salaires et le chômage. La pénurie de logements et l’augmentation des loyers appellent également une réaction. Pour le PS, ces réformes de politique intérieure doivent impérativement être liées à la mise en œuvre légale de l’IIM. Il s’agit du seul moyen pour parvenir à une application socialement adaptée et acceptable pour la population. Continuer
11.06.2015
Le sauvetage des relations bilatérales avec l'Union européenne (UE) est la priorité de l'agenda politique. Toutefois, sans de profondes réformes intérieures, il ne pourra être mené à bien. « Les bilatérales ne trouveront une majorité que si les citoyen-ne-s, et pas uniquement l’économie, en tirent avantage », affirme Roger Nordmann, vice-président du Groupe socialiste. « C’est pour cette raison que le PS veut soutenir les salarié-e-s locaux, par un effort en matière de formation et d’intégration, un renforcement de la protection des salaires et une offensive face à la pénurie de logements. » Les conditions de vie de toutes et tous, et non les intérêts de quelques grandes entreprises, sont au centre de nos préoccupations. C’est en ce sens que le PS soutien un paquet de réformes, regroupant 21 interventions de ses parlementaires. Continuer
26.05.2015
Le 9 février 2014, les votant-e-s ne se sont exprimés ni sur la fin de la libre circulation des personnes, ni sur la fin des relations bilatérales avec l’Union européenne (UE). Ils se sont exprimés contre un modèle de migration, dans lequel seule l’économie prime, au mépris de l’être humain. La mise en œuvre de l’article 121a sur l’immigration doit se faire, sans pour autant conduire à la rupture des accords bilatéraux. En ce sens, l’approche du Conseil fédéral est bonne : d’abord négocier une adaptation de la libre circulation avec l’UE, avant d’introduire des contingents ou autres restrictions de manière unilatérale. En parallèle, le Conseil fédéral doit entreprendre bien plus énergiquement les réformes nécessaires en matière de politique intérieure (marché du travail et formation). Continuer
La Suisse a toujours profité de l’immigration et elle en dépendra encore à l’avenir. L’objectif de notre politique d’intégration est de promouvoir l'égalité des chances et la participation à la vie publique, ainsi que de faciliter la coexistence entre la population indigène et étrangère. Continuer

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